Hier l'appréhension de gravir le col de Roncevaux était grande d'autant que j'étais laminé, exténué et même ko. Les kilomètres parcourus se payaient sur le cyclo. Ce matin au petit déjeuner j'approfondis la connaissance du pèlerin breton au long cours (un sosie de Bernard Zurlinden).Il travaillait à Lorient, comme mécanicien naviguant de l'hélicoptère de la sécurité civile. Il a bourlingué
Je croise les deux cyclos hollandais au petit déjeuner, je ne le reverrai plus.
A 7h45 le col de Roncevaux est à conquérir. je pars mollo et régulièrement; le ciel est couvert, il fait froid mais cela est tonique pour pédaler.
2 heures 45 plus tard le sommet u col apparaît, il est à 1057m et non à 1220m comme je le croyais. Bonne surprise.
Au monastère, le froid est vif, un coup de tampon sur la crédencial et en route vers Pampelune que j'atteindrai avant 14heures et après avoir franchi deux petits cols.
A Larrasoaña, une vététiste espagnole surgit du chemin qui croise la route; elle vient de Roncevaux et s'arrête à Puente la Reina, en progressant par le camino. Cela me donne des idées. Pourquoi ne pas pousser jusqu'à Puente la Reina, sise à 24km de Pampelune.
A 17heures ce sera chose faite. mais auparavant, il faut traverser Pampelune, cette métropole régionale, ce n'est pas aisé en vélo et je me retrouve sur la 4 voies qui rallient Logroño et Burgos. Un jeune espagnol en camionnette, passionné de vélo (il va rallier Santiago en vélo en septembre) me sort d'affaire. Il m'ouvre la vois sur 2km pour rejoindre une route secondaire qui me permettra d'arriver à Puente la Reina.
Et, mes amis pèlerins du cru 2009, je fais étape à l'albergue où nous avions dormi l'an passé.
Les pèlerins sont moins nombreux, les prix sont restés stables et les espagnols toujours aussi serviables.
Ce soir je partage le dortoir avec un anglais et sa copine espagnole. je viens de faire la connaissance d'une américaine souriante et sympa mais mon anglais ne me permet pas de pousser plus avant les échanges. Heureusement, Pascale une hollandaise charmante parle très bien le français
A demain les amis
Pierre
Je croise les deux cyclos hollandais au petit déjeuner, je ne le reverrai plus.
A 7h45 le col de Roncevaux est à conquérir. je pars mollo et régulièrement; le ciel est couvert, il fait froid mais cela est tonique pour pédaler.
2 heures 45 plus tard le sommet u col apparaît, il est à 1057m et non à 1220m comme je le croyais. Bonne surprise.
Au monastère, le froid est vif, un coup de tampon sur la crédencial et en route vers Pampelune que j'atteindrai avant 14heures et après avoir franchi deux petits cols.
A Larrasoaña, une vététiste espagnole surgit du chemin qui croise la route; elle vient de Roncevaux et s'arrête à Puente la Reina, en progressant par le camino. Cela me donne des idées. Pourquoi ne pas pousser jusqu'à Puente la Reina, sise à 24km de Pampelune.
A 17heures ce sera chose faite. mais auparavant, il faut traverser Pampelune, cette métropole régionale, ce n'est pas aisé en vélo et je me retrouve sur la 4 voies qui rallient Logroño et Burgos. Un jeune espagnol en camionnette, passionné de vélo (il va rallier Santiago en vélo en septembre) me sort d'affaire. Il m'ouvre la vois sur 2km pour rejoindre une route secondaire qui me permettra d'arriver à Puente la Reina.
Et, mes amis pèlerins du cru 2009, je fais étape à l'albergue où nous avions dormi l'an passé.
Les pèlerins sont moins nombreux, les prix sont restés stables et les espagnols toujours aussi serviables.
Ce soir je partage le dortoir avec un anglais et sa copine espagnole. je viens de faire la connaissance d'une américaine souriante et sympa mais mon anglais ne me permet pas de pousser plus avant les échanges. Heureusement, Pascale une hollandaise charmante parle très bien le français
A demain les amis
Pierre
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